dimanche 20 octobre 2019

L'émission culturelle "Diasporas" désormais sur YouTube

Dans le cadre de la satisfaction de la demande des téléspectateurs

"Diasporas" se met au pas du numérique. L'émission culturelle dédiée aux activités des Béninois de la diaspora dans leur pays d'accueil, dispose désormais de sa chaîne YouTube. Ceci permet aux téléspectateurs d'être capables, de n'importe quel point du globe, de suivre leur programme préféré.


https://youtu.be/ZJ68u66UFFO, le lien de l'émission n°88 de "Diasporas", le programme diffusé deux fois par mois sur la télévision béninoise de service public relié à l'Office de Radiodiffusion et télévision du Bénin (Ortb) et animé par son initiatrice depuis sa création en 2008, Yolande Veyvey.


Selon celle-ci, la production de l'émission vient ainsi de réaliser une demande chère aux téléspectateurs de l'émission, répartis à travers le monde, plus précisément au niveau des pays, tous continents confondus, que le programme a déjà visités.


Ainsi, les fans de "Diasporas" qui n'auraient pas pu suivre l'émission à la télévision pourront le faire sur You Tube. A cet effet, il leur suffira de se connecter à ce réseau social et de s'abonner à la chaîne, "Yolande Veyvey", ce qui leur permettra d'avoir accès au n°88 de "Diasporas" et à toutes les émissions précédentes.


Pour Yolande Veyvey, l'intérêt pour les téléspectateurs de s'abonner à la chaîne You Tube du même nom est de se voir notifier chaque fois la mise en ligne d'une nouvelle édition de l'émission. Sous peu, d'autres améliorations rendront davantage les téléspectateurs proches de "Diasporas", laisse conclure la fondatrice du programme.

Marcel Kpogodo

samedi 19 octobre 2019

Culture : le Marché "Kérékou" au Niger sur l'émission télévisuelle "Diasporas"

Dans le cadre de la diffusion du 88e numéro sur l'Ortb

La 88e édition de l'émission culturelle de télévision, dénommée "Diasporas", initiée depuis onze ans par la journaliste béninoise, Yolande Veyvey, sera centrée sur le Niger avec un de ses lieux d'échanges, atypique, animé par des Béninoises vivant dans le pays, le marché "Kérékou".

26 minutes pour aborder, entre autres, le marché "Kérékou", du nom de l'ancien Président emblématique du Bénin, qui se situe au Niger. Le menu du 88e numéro de l'émission "Diasporas", qui sera diffusée à nouveau sur la télévision nationale de service public du Bénin, le dimanche 20 octobre 2019, de 10h à 10h30.


A en croire son animatrice, Yolande Veyvey, si ce numéro concerné de l'émission très connue vaut le détour et la mobilisation dans les foyers béninois, c'est qu'il évoque une réalité extraordinaire que les Béninoises contribuent à entretenir à Niamey, la capitale nigérienne : le marché qu'elles animent portent un nom d'une grande notoriété au Bénin, en Afrique et dans le monde pour être celui d'une personnalité qui a contribué à ouvrir le bal des conférences nationales en Afrique, en même temps que celui du renouveau démocratique, ce qui fera, dans quelques mois, 30 ans.


Ensuite, dans un pays islamique comme le Niger, ce sont les hommes qui animent les marchés. Qu'est-ce qui aurait pu amener ces Béninoises à tenir un marché et, avant tout, à lui donner le nom "Kérékou" ? Depuis quand l'ont-elles fait et qu'y vendent-elles de si particulier, pour quelle cible ? Comment se sentent-elles dans un environnement où les marchés sont animés par les hommes ? Par ailleurs, d'où proviennent les marchandises qui y sont vendues et, quelles sont-elles ?


Pour trouver réponse à toutes ces questions, de même qu'à celles liées à un autre marché, pris en exemple par Yolande Veyvey et qui est animé par des hommes nigériens, il faudrait prendre le rendez-vous de l'émission "Diasporas", dans la rediffusion de son 88e numéro, le dimanche 20 octobre 2019, sur la télévision de service public de l'Office de Radiodiffusion et télévision du Bénin (ORTB), de 10h à 10h30. Ce rendez-vous télévisuel serait l'occasion de toucher du doigt la capacité d'innovation dans son milieu de vie à l'étranger et d'enrichissement social, reconnue aux Béninois de la diaspora.

Marcel Kpogodo

lundi 14 octobre 2019

’’Carit’art’’ 2019 : l’équipe de pilotage renforcée dans ses capacités techniques

Dans le cadre du démarrage du Projet

Une formation s’est tenue à l’Hôtel ’’Jéco’’, dans la Commune d’Abomey-Calavi dès le mercredi 18 septembre 2019. Elle concernait les membres de l’équipe de pilotage du Projet ’’Carit’art’’, financé par l’Union européenne. Le Français Jean-Louis Fournier est l’expert qui s’est chargé d’effectuer cette séance de renforcement de capacités.

Jean-Louis Fournier, en échange avec les auditeurs
Un Coordonnateur du Projet, son Assistante administrative, une Secrétaire comptable, un Chargé à la Communication et le Chargé des Activités artistiques, de la projection de films et de spectacles. Les statuts respectifs des participants à la formation initiée par le Projet ’’Carit’art’’ et qui s’est déroulée du mercredi 18 au dimanche 22 septembre 2019, dans l’une des salles de conférence de l’Hôtel ’’Jéco’’, situé dans la Commune d’Abomey-Calavi.


Pendant toutes ces journées, les auditeurs ont travaillé de 10h à 15h.


’’Carit’art’’ est le projet de proposition et de gestion d’intervention d’artistes dans les hôpitaux, les centres sociaux d’accueil et les prisons. D’une durée de 12 mois, il est initié par l’Association ’’Igbala’’ que dirige l’artiste comédien, Alfred Fadonougbo, alias, Freddy.


Cette initiative d’intervention d’artistes dans des univers hébergeant des personnes en besoin d’appui psychologique, notamment, s’est ainsi vue lancée dans sa phase active par cette formation au sommet de la pyramide d’un système qui devrait permettre de voir cette équipe de pilotage organiser, suivre et gérer la descente d’artistes, tous secteurs confondus, dans des hôpitaux, des centres sociaux d’accueil, des maisons d’arrêt et des prisons au Bénin.


Pour assurer cette formation, les services spécialisés de Jean-Louis Fournier, circonstanciellement arrivé de la France, ont été demandés.

L'expert posant avec quelques-uns des stagiaires, au lancement de la formation
Responsable administratif et financier de l’Association ’’Tournesol’’ ayant son siège dans l’Hexagone, il s’est confié à la presse, dans le but de clarifier la mission qui lui a été confiée : « Il s’agit pour les membres de l’équipe de pilotage du Projet concerné de saisir ses enjeux vis-à-vis du pays, de l’Union européenne qui est l’institution qui procède à son financement, de s’approprier, chacun, ses outils de travail afin de mieux répondre aux enjeux indiqués ».


Continuant dans son développement, il a affirmé : « Il est question pour moi de les armer afin que chacun des membres de l’équipe de pilotage détienne les outils des justifications des actions menées et d’apport des preuves, des justificatifs. Chacun doit avoir la même compréhension du Projet, maîtriser ses responsabilités spécifiques, comprendre comment sera partagé le travail de façon à ce que l’œuvre de chacun puisse nourrir celle des autres ».


Hors de la peau du ’’Magister dixit’’, le formateur entendait adopter une stratégie purement collaborative : « Ma méthode, pour atteindre ces objectifs, sera participative », a-t-il terminé.

Marcel Kpogodo

samedi 12 octobre 2019

Le Festival des Danses endogènes lancé en beauté de chants et de danses

Dans le cadre d’activités artistiques à Zogbo

Une nouvelle édition du Festival des Danses endogènes a été lancée le vendredi 11 octobre 2019 au quartier de Zogbo à Cotonou. Ont orchestré la séance l’initiateur de l’événement, Léon Hounyè, alias Sakpata Zogbo, des responsables de troupes participantes de danses traditionnelles et des membres très actifs de celles-ci.

Aperçu du lancement officiel du Festival des Danses endogènes 2019

Trois brefs roulements respectifs entrecoupés de chants et de danses puis une entrée magistrale des responsables, des invités et de festivaliers par le portail circonstanciel du village du Festival. 

Sakpata Zogbo, donnant l'exemple de l'exécution chaude d'une bonne danse traditionnelle
L’ambiance effervescente qui a donné lieu au lancement officiel de la 6ème édition du Festival des Danses endogènes, dans le début de la soirée du vendredi 11 octobre 2019.

Le public était massivement au rendez-vous
Il sonnait 18 heures 17 minutes lorsque le coup d’envoi a été ainsi officiellement donné. En guise de discours, Sakpata Zogbo a, d’une grande voix, appelé les invités et les groupes festivaliers à entrer sur le site du Festival par la porte du village construit circonstanciellement. 

Le ''Ballet fédéral du Bénin '' en action ...
Il est alors revenu aux quatre groupes de musiques et de danses traditionnelles de se produire, chacun, pendant à peine une dizaine de minutes, sur le podium de l’événement, de quoi démontrer un certain savoir-faire artistique.

... sans oublier les ''Etoiles brillantes du Bénin''
Ainsi, le ’’Ballet fédéral du Bénin’’, le Complexe artistique et culturel ’’3L Ifèdé’’, l’Ensemble artistique et culturel ’’Les héros du Bénin’’ les ’’Etoiles brillantes du Bénin – Nounagnon’’ ont, chacun, dans sa spécificité, assuré sa tranche d’animation par un jeu par l’orchestre sur scène de chants, de danses et de démonstrations époustouflantes.

Les ''3L Ifèdé ...
... dans l'exécution de la danse du feu
De manière remarquable, les ’’3L Ifèdé’’ ont impressionné par la danse du feu, assurée l’un des membres de ce Groupe.

Ambiance de la déambulation du Stade de l'Amitié à Zogbo
En réalité, le lancement de la 8ème édition du Festival des Danses endogènes a été précédé par un spectacle déambulatoire fait d’exécution de chants et de danses par les groupes évoqués sur un parcours allant du Stade de l’Amitié Général Mathieu Kérékou pour aboutir au cœur du quartier de Zogbo, en passant devant son Carrefour très connu.

Marcel Kpogodo