dimanche 9 octobre 2016

L’artisanat et l’art en exposition sur le fil

Dans le cadre d’un projet Boucher-Adonon 


Du 16 au 21 septembre 2016 s’est tenue une exposition sur le résultat de plusieurs semaines d’un travail artisanal et artistique sur le fil. Le cadre en était le Centre ’’Arts et cultures’’ de Lobozounkpa, à Godomey, dans la Commune d’Abomey-Calavi.

Martine Boucher, dans ses explications, au cours de l'exposition
12 tisserands engagés, un peu plus de 20 photographes, designers textile, stylistes. La statistique de la ressource humaine émanant des secteurs de l’artisanat et de l’art, celle qui a été mobilisée, pendant une trentaine de jours, pour le compte du projet intitulé, ’’Autour du fil’’ et dont l’exposition des œuvres, close le 21, a été réalisée le vendredi 16 septembre 2016, dans une ambiance musicale d’une certaine vivacité, entretenue par l’orchestre, ’’Wood sound’’.

Calixte Somaha, représentant de ''Wallonie-Bruxelles'', à la cérémonie de lancement de l'exposition
Constant Adonon
L’aboutissement que constitue l’exposition se fonde sur un projet co-piloté par Martine Boucher et Constant Adonon, avec un financement de ’’Wallonie-Bruxelles’’, dans le cadre de ce qu’il a été convenu d’appeler un « atelier africain de design ». Parmi les compétences artistiques y ayant enrichi leur expérience, il faut compter, parmi les photographes, Audace Aziakou, Louis Oké-Agbo, Brunick Bonou, Yanick Folly, Sophie Négrier, Warren Saré et Totché, puis dans celle du design textile, Prince Toffa, Vincent Baillou, Estelle Chatelain, notamment, sans compter que les tisserands s’étant investis dans l’initiative proviennent d’un historique site de travail, le palais d’un souverain compté comme un grand innovateur au Royaume du Dahomey : le Roi Agonglo.


Quelques objets utilitaires fabriqués au cours de l'atelier
Ainsi, avec le fil comme matériau d’inspiration, toutes sortes d’œuvres ont vu le jour, et même des objets utilitaires, comme des sièges, ce qui contribue à valider une logique chère à Martine Boucher : la modernisation d’un processus d’exploitation du fil, délétèrement ancré dans un conservatisme peu productif à notre époque, sans oublier l’ouverture d’un corps de métier au monde, tout simplement.


Marcel Kpogodo

La nouvelle ’’Feuilles de mon destin’’ de Jordy Hounhoui, lancée à Cotonou

Dans le cadre du ’’Grand prix littéraire Jean Pliya’’


La salle de conférence de l’Espace Blue zone de Cotonou a abrité le lancement de l’ouvrage, ’’Feuilles de mon destin’’, de Jordy Hounhoui, lauréat de la 1ère édition du ’’Grand prix littéraire Jean Pliya’’. C’était le vendredi 30 septembre 2016.

De gauche à droite, Jordy Hounhoui, Jérôme Carlos, notamment
77 pages, pour une écriture fluide et une histoire à découvrir qui, dès les premières lignes, emporte le lecteur, pour ne le délivrer qu’à la fin de l’expérience narrative. La substance de ’’Feuilles de mon destin’’, la nouvelle dont le lancement officiel s’est déroulé, le vendredi 30 septembre dernier, à l’Espace Blue Zone du quartier Zongo, à Cotonou. Jordy Hounhoui, le jeune auteur, est le lauréat du ’’Grand prix littéraire Jean Pliya’’, grâce à cet ouvrage qui, au moment où il le déposait pour compétir contre 6 autres candidats, n’était qu’un texte.

L'ouvrage, ''Feuilles de mon destin''
Elu par un Jury dirigé par le Professeur Jean Marc-Aurèle Affoutou, ’’Feuilles de mon destin’’ est désormais une nouvelle distribuée dans les librairies et que les amoureux du livre pourront se procurer. Publiée par les soins de la maison d’édition ’’Star éditions’’, elle est préfacée par la très multidimensionnelle et vraie plume béninoise, Jérôme Carlos. 

Joachim Adjovi, Directeur de la maison d'édition, ''Star éditions''
En réalité, tout un symbole fondait cette cérémonie de lancement, le jeune auteur et son préfacier célébrant tous deux leur anniversaire, ce 30 septembre. Un signe que deux générations d’écrivains échangeaient le flambeau de la transmission d’une relève de qualité, ceci que devra justifier le positionnement de nouvelles plumes, surtout que la 2ème édition du ’’Grand prix littéraire Jean Pliya’’ a été lancée, ce même jour, pour des manuscrits attendus pour au plus tard le 31 janvier 2017.


Marcel Kpogodo

jeudi 8 septembre 2016

’’Life school’’, l’album d’une vie combative de Segun Ola

Pour une présentation à l’Institut français de Cotonou


Le mercredi 31 août 2016 a permis à l’artiste nigérian, Segun Ola, d’annoncer, à l’Institut français de Cotonou, au cours d’une conférence de presse, le lancement prochain de son deuxième album intitulé ’’Life school’’, qui incarne la traversée difficile mais victorieuse de plusieurs péripéties dans sa vie par l’artiste.

Ci-contre, à gauche, Segun Olabisi
« Cet album est dédié à l’enfance que je n’ai pas eue, l’enfance où j’étais déjà adulte, où j’étais mes propres parents, où j’ai reçu une éducation dans la rue avec des hauts et des bas, avec des gens biens et, d’autres, méchants … ». Le fondement psychologique, thématique et spirituel de ’’Life school’’, nouvel album de Segun Olabisi, alias Segun Ola, artiste nigérian vivant depuis plus de 25 ans au Bénin, présenté aux journalistes culturels, le mercredi 31 août dernier, à l’auditorium de l’Institut français de Cotonou. Il en a annoncé la sortie pour le samedi 10 septembre 2016, à travers un concert à la Paillote du même espace culturel.
« ’’Life school’’ est l’histoire d’un enfant que sa mère a réveillé à 3 heures du matin pour lui parler de la vie », a lancé Segun Ola, dans ses explications aux professionnels des médias, avant de préciser : « Cet album raconte ce que j’ai encaissé de la vie ». En outre, l’artiste annonce le concept du ’’Going to the street school’’ comme l’ayant conduit à donner le titre ’’Life school’’ à ce deuxième album, lui qui a longtemps vécu dans la rue : « La vie est une école où l’on apprend tous les jours ; sur la route, on apprend mieux à utiliser nos diplômes », dit-il, avant de renchérir : « ’’Life school’’ est l’histoire d’un enfant appelé par sa mère à donner, à enseigner, à partager l’amour qui reste un processus perpétuel pour partager des connaissances ».    



’’Life school’’, plusieurs énergies artistiques  

Comportant 12 titres chantés en yoruba, en français et en anglais, puis en d’autres langues maternelles d’Afrique de l’Ouest comme le fongbé, l’éwé, l’ashanti, le dioula, le moré et le ouolof, sur le rythme de l’Afro-beat, ’’Life school’’, résultat de 10 années de travail, s’est défini par Segun Ola comme un « album multiculturel », du fait qu’il y a fait intervenir, sur 7 morceaux, plusieurs artistes et des groupes émanant de divers pays : le Bénin, le Togo, le Ghana, le Nigeria, le Burkina Faso, la France, la Belgique et l’Allemagne. Ainsi, des voix et différentes sensibilités musicales dont, certaines, d’une réelle notoriété, enrichissent ce nouveau disque, faisant de cet artiste un fusionneur de talents : Gangbé Brass band, King Mensah, Sandra Davies, Egypt 80 et, enfin, Baba Commandant et Joey le Soldat, tous émanant respectivement des 5 premiers pays liés à l’Afrique occidentale. Et, du côté de la France, les Frères Nivelais s’y manifestent pendant qu’en Belgique, ce sont Jupiter Diop, Freddy Massamba et Nicole Letuppe qui y apportent leur touche spécifique, et qu’en Allemagne, le Groupe ’’Talking Horns’’ a accepté de s’y produire. « C’est de la lumière, de la vie, quelque chose de très fort », a alors commenté Segun Ola, évoquant qu’à chaque entrée en studio, dans l’un ou l’autre de ces pays qu’il a individuellement parcouru, s’effectuaient « une leçon de vie, le partage d’une nouvelle expérience du travail en studio ».
Abordant des thèmes aussi divers que l’amour, l’enfance, la force de la mère, ’’Life school’’ succède à ’’Alawodudu’’, paru en 2006. Pour Segun Ola, ce nouvel album, orphelin de producteur et de mécène, reste le résultat du fait d’avoir surmonté plusieurs ordres d’obstacles, lui dont s’est révélé prémonitoire le prénom, ’’Segun’’, en yoruba, « la victoire sur la guerre du bonheur, de la richesse, de l’abondance ».



Marcel Kpogodo  

jeudi 4 août 2016

Tériba, 5 événements en hommage à 10 ans de parcours

Dans le cadre d’une commémoration en bonne et due forme


Le groupe béninois féminin, Tériba, a tenu une conférence de presse, le mercredi 27 juillet 2016, à l’auditorium de l’Institut français de Cotonou. Au menu, la commémoration des 10 années d’exercice professionnel du trio, ce qui laisse entendre un certain nombre de manifestations spécifiques.

Les chanteuses Tériba, au cours de la conférence de presse
Publication d’un documentaire sur la décennie de traversée professionnelle de Tériba, mise sur le marché d’un single en audio et en vidéo en attendant le 3ème album du Groupe, organisation d’une soirée de gala de gratitude envers ses partenaires et, enfin, tenue d’un « concert-événement » à l’Institut français de Cotonou. Les 5 manifestations, s’il faut intégrer la conférence de presse de communication, programmées par le Trio Tériba pour la commémoration de ses 10 ans de pratique de l’art musical, ce qui a été annoncé au cours des échanges que les membres du Groupe ont eus avec les hommes des médias, le mercredi 27 juillet dernier. 10 ans d'une pratique artistique datée à partir du 20 mai 2006, avec le premier concert du Groupe à l'Institut français de Cotonou, Centre culturel français, à l'époque.
Première phase de la présentation aux journalistes culturels, la diffusion du documentaire spécialement réalisé dans le cadre de la commémoration de cette décennie d’exercice professionnel du Groupe dans la musique ; il a exploré le parcours suivi par Tériba, laissant plusieurs voix autorisées dans le secteur des arts et de la culture au Bénin présenter leur compréhension d’une traversée qui n’aura pas été de repos ni de sinécure : les artistes Nel Oliver, Assikiwa, John Arcadius, Angélique Kidjo, sans oublier des promoteurs culturels tels que Gogoy Akouègnon Prosper, alias Gap, Dr Chakirou Latoundji, et des responsables d’espaces culturels comme Sylvain Treuil, Directeur de l’Institut français de Cotonou, et un programmateur culturel tel que Noël Vitin, exerçant dans cette même institution.
Globalement, les analyses de ces personnalités se sont montrées beaucoup plus satisfaisantes envers une grande endurance dans le secteur de la musique purement traditionnelle où, les sœurs Carine et Tatiana Ahissou, puis Zékiath Abogounrin, constituant le trio à succès, ont su se tracer une voie d’une triple authenticité qui se révèle d’abord vocale. Ensuite, celle-ci, dans son aspect instrumental, se matérialise par l’utilisation fondamentale de la calebasse renversée sur laquelle frapper rythme la cadence du chant, avec l’accompagnement de tam-tams et de gongs. Enfin, cette valeur artistique intrinsèque du trio est liée à la gestion de son image personnelle aussi bien sur scène qu’en privé ; Carine, Tatiana et Zékiath, en 10 années faites d’une découverte par le Journaliste culturel Serge Ologoudou, par des concerts, des participations à des festivals internationaux et locaux, puis d’un passage par Radio France internationale (Rfi), à travers l’attribution du 2ème Prix ’’Découverte Rfi’’ 2012,  sans oublier des prestations scéniques en compagnie de la Diva adulée au plan mondial, Angélique Kidjo, sont restées naturelles, constantes et humbles, cette dernière qualité donnant l’impression d’avoir été inspirée à ces 3 artistes par la dénomination propre du Groupe, ’’Tériba’’ qui signifie, en langue yoruba, ’’humilité’’.
L'étape de la diffusion du documentaire
Se rapportant au single audio et vidéo annonçant la sortie prochaine du 3ème album du Groupe devant naître en 2016, les deux premiers, ’’Gan nan ho’’ et ’’Akpé’’, étant parus, respectivement, en 2006 et en 2012, il est intitulé ’’Titigoéti’’, et aura été lancé le 1er août dernier.
Abordant les initiatives commémoratives à venir sous peu, Carine Ahissou, Porte-parole du Groupe, s’est évertuée à annoncer la tenue de 2 événements : une soirée de gala de gratitude vis-à-vis des partenaires du Groupe, prévue pour avoir lieu à Cotonou, le 8 octobre 2016 et, près d’une semaine plus tard, le 14 octobre, un concert-événement à l’Institut français de la même ville.
Tériba, désormais, plus qu’un groupe musical, un label béninois de musique traditionnelle, se voit imposer plusieurs défis. En premier lieu, celui d’une unité permanente d’un Groupe qui est passé, à travers les expériences individuelles, de 7 à 5, puis de 5 à 3 membres. Une lourde responsabilité que la Porte-parole place, toujours humblement, sous la tutelle divine : « Se maintenir à 3 est une grâce … Nous prions … Vos prières aussi nous accompagnent … Il y a une force qui est au-dessus de toute force et qui nous maintient ». Deuxièmement se dessine la nécessité d’une percée musicale qui puisse drainer d’autres artistes nationaux et faire identifier spécifiquement la musique béninoise à l’international, une double exigence qui ne peut se concrétiser sans certaines précautions : « Rassurez-vous, on ne fera pas de la musique tendance, nous ne voulons pas entrer dans une ligne commerciale ; nous n’avons pas envie de nous prostituer musicalement », fera entendre Carine Ahissou, appuyée par les hochements de tête approbateurs de ses consœurs. « Tout ce dont nous avons besoin pour exister se trouve ici », sans omettre de conclure poétiquement : « Il nous faut garder l’essence de notre existence ».


Marcel Kpogodo  

mercredi 20 juillet 2016

Le Président Talon, les Ministres N’koué et Agbénonci, interpellés sur Patrick Idohou par Christel Gbaguidi

Dans le cadre de la rédaction de violents ’’Coups de gueule’’


L’organisation par Patrick Idohou, Directeur de la Promotion artistique et culturelle, des très prochaines ’’Semaines culturelles du Bénin en Europe’’ crée de grands remous dans l’univers des arts et de la culture au Bénin. Parmi les porteurs de la voix contestataire, il faut compter Christel Gbaguidi, Président de l’Association culturelle, ’’Arts vagabonds rezo Afrik Benin, qui a rendu publics 5 ’’Coups de gueule’’ pour dénoncer les conditions de la tenue de cet événement. Une opportunité qu’il saisit pour interpeller le Chef de l’Etat, Patrice Guillaume Athanase Talon, son Ministre de la Culture, Ange N’koué, de même que son Ministre des Affaires étrangères et de la coopération, Aurélien Agbénonci. L’intégralité des 5 pamphlets contre Patrick Idohou …

De gauche à droite, Christel Gbaguidi et Patrick Idohou, en juin 2016, en Allemagne ... 


Coup de Gueule 1

Excellence, Monsieur Patrice Talon, Président de la République
Monsieur le Ministre du Tourisme et de la Culture,
Monsieur le Ministre des Affaires Etrangères et de la Coopération,
Valoriser le Bénin à l'international, ne peut se faire sans les Acteurs et Entrepreneurs Culturels qui vivent et maîtrisent au mieux les réalités de vie de leurs pays d' accueil respectifs comme, par exemple, ceux de l‘Europe .
Il est temps que le Gouvernement, à travers son Ministère du Tourisme et de la Culture, et par celui des Affaires Etrangères et de la Coopération, le comprenne et oeuvre pour un nouveau dynamisme de collaboration et/ou de partenariat gagnant-gagnant avec ces divers Acteurs, pour que rayonne davantage le Bénin, à l'international.

Nous disons NON, NON et NON aux DIRECTEURS DEALERS.

Nous disons aussi NON. NON et NON aux ENTREPRENEURS CULTURELS et aux ARTISTES DEALERS qui font la Honte de notre métier.

NOUS AVONS BESOIN DE DIRECTEURS LEADERS et VISIONNAIRES ayant la capacité de comprendre la quintessence de nos divers projets, à l'international.

CESSONS DE DILAPIDER l'argent de L' Etat.

INVESTIR DANS LE SECTEUR CULTUREL, C'est RENFORCER LE DÉVELOPPEMENT ECONOMIQUE DU BÉNIN.
Cordialement,
Merci

Pour le Bureau Directeur des Arts Vagabonds Rezo Afrik Benin,
Le Président,

Christel GBAGUIDI




Coup de gueule 2

Excellence, Monsieur Patrice Talon, Président de la République ,
Monsieur le Ministre du Tourisme et de la Culture,
Monsieur le Ministre des Affaires Etrangères et de la Coopération,

NOUS VOUS PRIONS DE STOPPER LA MACHINE DE LA Haute CORRUPTION INTERNATIONALE qui entend organiser la soi-disant ‘‘Semaine Culturelle du Bénin en Europe : France-Belgique‘‘.

Enfin, le Directeur de la Promotion Artistique et Culturelle (DPAC), M. Patrick Idohou, a posé l'acte que nous craignions en lui disant NON à l'organisation des SEMAINES CULTURELLES BÉNINOISES EN ALLEMAGNE, un événement qui a déjà connu une édition réussie du 9 au 19 Juin 2015, en Allemagne), EN JUILLET, lors de sa visite de travail avec Christel GBAGUIDI, Président de l'Association socioculturelle, Arts Vagabonds Rezo Afrik Benin, à Berlin le 11 juin 2016.

SON DEAL avec les Arts Vagabonds Rezo Afrik Benin-Allemagne n'a pas marché et voilà que les Entrepreneurs Dealers de la France et de la Belgique l‘ont accepté.

Les réalités de la vie en Europe ont prouvé que l'on ne peut organiser un événement en deux semaines de préparation. Pire, les Festivals et/ou marchés pouvant offrir plus d'opportunités aux artistes béninois, à cet effet, ont bouclé leurs calendriers de programmation et/ou de visite d' événements du genre depuis plus de trois mois, voire six mois ou un an.

Le DPAC PREND LA ROUTE DE L' EUROPE EN JUIN 2016, rencontre nous, Organisateurs Professionnels d'événements en Europe, par exemple en Allemagne, pour nous demander d‘accepter d’organiser son événement en juillet 2016.

Nous, nous avons dit NON, NON ET NON. On ne peut célébrer le BÉNIN DE LA SORTE.

Ce n'est pas parce qu'il risque de perdre son Poste de DPAC, avec la Rupture, qu'il faille inciter les organisateurs á faire vite quelque chose ...

Ce n'est pas parce que nous sommes jaloux, ou du moins, que notre Evénement n'a pas son soutien que nous dénonçons le sien. Non? non et non.
C'est le souci de bien organiser et, surtout, celui de la Visibilité Professionnelle que le Bénin mérite qui nous amène à dire Non.

On ne peut continuer à. DILAPIDER LES SOUS DU CONTRIBUABLE  BÉNINOIS DE LA SORTE.
COMBIEN PAIERA-T-IL AUX ARTISTES PARTICIPANTS? Et QUE GAGNE LE BÉNIN? A-T-IL ASSOCIE LES AFFAIRES ÉTRANGÈRES ?
Le Temps du Folklore est terminé, ''rupturons'' ce DPAC ET SA COHORTE DE DEALERS ADMINISTRATIFS ET ENTREPRENEURS CULTURELS !

NOUS SOMMES POUR LA PROMOTION DES ARTS ET DE LA CULTURE DU BÉNIN, EN PARTENARIAT AVEC LES ACTEURS ET LES PROMOTEURS CULTURELS QUI CONNAISSENT VRAIMENT L' Europe et ses Réalités ...

OUI A LA PROMOTION INTERNATIONALE DU BÉNIN A TRAVERS SA CULTURE ET SON PATRIMOINE CULTUREL.

NON A L' ORGANISATION FANTAISISTE D'ÉVÉNEMENTS CULTURELS EN EUROPE.

Monsieur le Président de la République, nous vous prions de DIRE NON et d’inviter tous les Acteurs pour mieux définir les Cadres de Promotion du Bénin à l' international.


VIVE LES ARTS AU SERVICE DU DÉVELOPPEMENT !
VIVE LE BENIN !
Cordialement,
MERCI.


Pour le Bureau Directeur des Arts Vagabonds Rezo Afrik Benin,
Le Président,

Christel GBAGUIDI

 


Coup de gueule 3

Excellence, Monsieur Patrice Talon, Président de la République,
Monsieur le Ministre du Tourisme et de la Culture,
Monsieur le Ministre des Affaires Etrangères et de la Coopération,

VOUS ETES VIVEMENT INTERPELLES.

Le Bénin ne profitera point du développement de son Secteur Touristique si la DIRECTION CHARGE DE LA PROMOTION ARTISTIQUE ET CULTURELLE ORGANISE DES MANIFESTATIONS FANTAISISTES A L' INTERNATIONAL ...
SI NOUS NE CONSIDÉRONS PAS LES ARTS ET LA CULTURE DU BÉNIN A LEUR JUSTE VALEUR, IL N' Y AURA AUCUN TOURISME.
LES MUSÉES SONT EN DÉCOMPOSITION 

LES ACTEURS CULTURELS DIGNES DU NOM PEINENT A METTRE EN PLACE LEURS PROJETS.

LES ECOLES D'ART PRIVES QUI EXISTENT N'ONT POINT L' APPUI DU GOUVERNEMENT, par exemple,

l' ECOLE SECONDAIRE DES MÉTIERS DES ARTS SOS D‘ABOMEY CALAVI,
L' ECOLE INTERNATIONALE DE THÉÂTRE DU BÉNIN (EITB),
LA CEMAAC A PORTO NOVO,
LES CENTRES CULTURELS PRIVES, N' EN PARLONS PLUS,
LES CINÉMAS, N' EN PARLONS PLUS,
LES CENTRES DE LOISIRS, quasi INEXISTANTS.

Si l'Etat béninois ne s'organise pas pour travailler, de concert avec les Acteurs Culturels Publics et Privés, afin de mieux organiser le Secteur Culturel, aussi bien au plan National qu'international, alors, comment entend-il créer la Richesse pour développer le BÉNIN?
Lorsque des Patrimoines se détériorent, lorsque des Dossiers de protection des Patrimoines disparaissent, lorsque des Directeurs ou des Administrateurs chargés de la Promotion ou du Financement du Secteur Culturel copient des projets envoyés par des Acteurs Culturels dignes du nom, et deviennent eux-mêmes Promoteurs ou bénéficiaires des fonds à la place de ceux qui doivent faire le travail, à quel développement devons-nous nous attendre ? De quel Secteur et comment?
Messieurs, vous êtes vivement Interpellés.

LA MAFIA EN PLACE AU NIVEAU DU MINISTÈRE DE LA CULTURE ET DE SES DIVERS DÉMEMBREMENTS DOIT DISPARAÎTRE.
QUEL RÔLE JOUE LA DIRECTION DES RELATIONS CULTURELLES DU MINISTÈRE DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES ET DE LA COOPÉRATION?
AVEC QUI TRAVAILLE CETTE DIRECTION?
QUE PENSE LE DIRECTEUR DE L'ENSEMBLE ARTISTIQUE NATIONAL DE CES ÉVÉNEMENTS FANTAISISTES A L'INTERNATIONAL, LUI QUI, DIGNEMENT, VEND LA DESTINATION BÉNIN LORS DE SES SORTIES ?
LE BÉNIN A TOUT A GAGNER, CAR IL OSE FINANCER SA CULTURE A HAUTEUR DE MILLIARDS DE FRANCS CFA.

ALORS ARRÊTONS LES MAFIEUX DE LA CULTURE.
VIVE LES ARTS AU SERVICE DU DÉVELOPPEMENT !
VIVE LE BÉNIN !

Pour le Bureau Directeur des Arts Vagabonds Rezo Afrik Benin,
Le Président,

Christel GBAGUIDI




Coup de gueule 4

Excellence, Monsieur Patrice Talon, Président de la République,
Monsieur le Ministre du Tourisme et de la Culture,
Monsieur le Ministre des Affaires Etrangères et de la Coopération,

SAUVONS ENSEMBLE NOTRE DIPLOMATIE CULTURELLE ET NOTRE SECTEUR CULTUREL, PENDANT QU´IL EN EST ENCORE TEMPS.

DES DIRECTEURS NOMMES POUR ENCOURAGER ET SOUTENIR LES ACTEURS ET ENTREPRENEURS CULTURELS DIGNES DU NOM QUI FONT DES EFFORTS AVEC DES PROJETS VITAUX TANT AU PLAN NATIONAL QU´A L´INTERNATIONAL, QUI, MALHEUREUSEMENT, PRÉFÈRENT ENCOURAGER ET SOUTENIR LES FAUX PROPHÈTES ET LES MÉDIOCRES DU SECTEUR, POUR RÉGNER ET DILAPIDER LES FONDS DU CONTRIBUABLE BÉNINOIS.

NOTRE SILENCE LEUR PROFITAIT. ET COMME L´A DIT THOMAS SANKARA: “L´esclave qui n´est pas capable d´assumer sa Révolte, ne mérite pas que l´on s´apitoie sur son sort. Cet esclave répondra seul de son malheur. S´il se fait des Illusions sur la Condescendance Suspecte d´un maître qui prétend l´affranchir.
SEULE LA LUTTE LIBÈRE“.

NOUS AVIONS TOUJOURS FAIT NOS PROJETS SANS DEMANDER L´APPUI DE L´ETAT BÉNINOIS NI CELUI DE CES DIRECTEURS NOMMES.

MAIS, AU REGARD DE LA QUINTESSENCE DE NOTRE PROJET DÉNOMMÉ ‘‘LES SEMAINES CULTURELLES BÉNINOISES EN ALLEMAGNE (SE.CU.BA.)‘‘ DONT LA 1ERE EDITION (du 9 au 15 Juin 2015 – Trois Villes Rudolstadt – Berlin - Dresden ) A ÉTÉ UN SUCCÈS PROBANT, NOUS ÉTIONS ET NOUS SOMMES OBLIGES D´ASSOCIER L´ETAT BÉNINOIS, POUR MIEUX RÉALISER CETTE ACTION DONT LES RÉPERCUSSIONS DIRECTES ET INDIRECTES RENFORCENT L`ECONOMIE BÉNINOISE.

NOTRE PROJET OFFRE PLUSIEURS OPPORTUNITÉS, NON SEULEMENT AUX ARTISTES MAIS, AUSSI ET, SURTOUT, AU MILIEU DES AFFAIRES, AVEC DES RENCONTRES AUX PLANS POLITIQUE , ECONOMIQUE, NOTAMMENT ...
C´EST LE FRUIT DE DIX (10) ANS D´ACTIONS CONTINUES ENTRE LE BÉNIN ET L`ALLEMAGNE, A TRAVERS DES COOPÉRATIONS ENTRE NOTRE ORGANISATION, ‘‘ARTS VAGABONDS REZO AFRIK BENIN‘‘, et d´ AUTRES INSTITUTIONS AUSSI BIEN ALLEMANDES QUE BENINOISES, PAR EXEMPLE, ASA PROGRAMM INWENT, AFRICAVENIR INTERNATIONAL e. V, LE CABINET PYTHON FORUM, PLACE O´SCENO, CJD PRO MIGRA, AFRIKA HAUS BERLIN, LE FITHEB, L´ECOLE INTERNATIONALE DE THÉÂTRE DU BÉNIN, CHEZ RADA CAFE CAURIS COQUILLAGE, LA LIBRAIRIE NOTRE DAME, L´INSTITUT FRANÇAIS DU BÉNIN, LE CENTRE FRANÇAIS DE BERLIN, BUND DEUTSCHER AMATEUR THEATER, LE FESTIVAL THEATERWELTEN, entre autres, SANS OUBLIER LA PRESSE BÉNINOISE ET INTERNATIONALE....

NOUS ÉTIONS TRANQUILLES, DANS NOTRE COIN, QUAND, SOUDAIN, NOTRE TÉLÉPHONE SONNA ET QUI EST AU BOUT DE LA LIGNE ? LE DPAC, M. PATRICK IDOHOU LUI-MÊME, QUI AURAIT SOUHAITE NOUS VOIR POUR AFFAIRE NOUS CONCERNANT, CAR AYANT EU CONNAISSANCE DE NOTRE DOSSIER DÉPOSÉ AU MINISTÈRE DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES ET DE LA COOPÉRATION, et QUI LUI A ÉTÉ AFFECTE : "...Christel, t´inquiète, vous aurez les Moyens ...."

NOUS L´ACCUEILLONS A BRAS OUVERTS, NOUS LUI OFFRONS GRATUITEMENT NOS CONNAISSANCES SUR NOTRE PAYS D´ACCUEIL, L´ALLEMAGNE, NOUS LUI ORGANISONS UNE VISITE GUIDÉE BIEN FAITE, CAR NOUS PENSIONS QU´IL LE MÉRITAIT.

MAIS, HÉLAS, AU LIEU D´ETRE UN LEADER AU SENS AIGU POUVANT APPRÉCIER LA VALEUR DES PLAISIRS CULTURELS QU`ON LUI OFFRAIT EN CE MOMENT-LA , ET DE PERCEVOIR DÉJÀ LE BIEN-FONDE DE NOTRE ÉVÉNEMENT EN ALLEMAGNE, IL A PRÉFÉRÉ RÉFLÉCHIR EN DEALER ET NOUS METTRE SUR RÉPONDEUR, QUAND NOUS L`APPELIONS, QUELQUES JOURS PLUS TARD, AU BÉNIN, POUR FINALISER LE DOSSIER ENTAME …
CE COMPORTEMENT EST INDIGNE D'UN DIRECTEUR QUI ENTEND NOUS DIRIGER, MIEUX, NOUS ACCOMPAGNER....

NOTRE SILENCE LEUR PROFITAIT …

DANS NOTRE PAYS D´ACCUEIL, L’ALLEMAGNE, TROUVER LE FINANCEMENT POUR NOS ACTIONS CULTURELS, SURTOUT, LORSQU´IL S'AGIT DE VALORISER, DE PROMOUVOIR ET/OU DE DÉFENDRE LES ARTS ET LES CULTURES, VOIRE LE PATRIMOINE MATÉRIEL ET IMMATÉRIEL DU BÉNIN, et REDORER LE BLASON DE NOTRE TOURISME, VOIRE NOTRE PIB, N`EST PAS CHOSE AISÉE; C`EST COMME TARZAN DANS LA JUNGLE.

ON CROYAIT EN NOTRE PAYS ET EN CES DIRECTIONS MAIS, HÉLAS, LES DIRECTEURS NOMMES NOUS PRÉFÈRENT LOIN DE LEURS CHAMPS CAR NOUS NE SOMMES PAS PRÊTS POUR DEALER:
NOUS SOMMES PRÊTS POUR LE TRAVAIL, LE TRAVAIL BIEN FAIT QUE NOTRE PAYS, LE VENINMÉRITE.
ICI, QUAND TU DIS ‘‘BÉNIN‘‘, on entend ‘‘BERLIN‘‘ ET, NOUS SOMMES OBLIGES DE SITUER NOTRE PAYS PAR RAPPORT AU NIGERIA OU AU TOGO, ALORS QUE NOTRE PATRIMOINE, ‘‘LE GUELEDE‘‘, EST MONDIALEMENT CONNU PAR L' UNESCO ...
NOUS NE DISONS PAS NON A CE QU`UN DIRECTEUR MANGE A LA SUEUR DE SON FRONT, MAIS, IL FAUDRAIT QU`IL TRAVAILLE CONVENABLEMENT, D´ABORD.

EXCELLENCE, MONSIEUR LE PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE,
NOUS VOUS PRIONS D´ARRÊTER LE MAL QUI GANGRÈNE NOTRE SECTEUR ET NOTRE DIPLOMATIE CULTURELS.
LE BÉNIN, TERRE CULTURELLEMENT RICHE, DOIT PROFITER DE SA RICHESSE, LE TOURISME SOUFFRE A CAUSE DE LA MAUVAISE ORGANISATION DU SECTEUR.
MONSIEUR LE MINISTRE DU TOURISME ET DE LA CULTURE, VOUS ETES INTERPELLE POUR ARRÊTER LA MAFIA EN MARCHE POUR VENDRE DU VENT A PARIS ET EN BELGIQUE
A TOUS LES ACTEURS CULTURELS DE LA DIASPORA BÉNINOISE VIVANTS EN FRANCE ET EN BELGIQUE, IL EST TEMPS DE SE LEVER ET, D´UNE SEULE VOIX, DIRE NON, NON, NON A CES ÉVÉNEMENTS FANTAISISTES QUI VIENNENT PERTURBER VOS EFFORTS ET VOS ACTIONS ANNUELS :

NOTRE SILENCE LEUR PROFITAIT …

AGISSONS ENSEMBLE MAINTENANT !

VIVE LES ARTS ET LES CULTURES DU BÉNIN AU SERVICE DU DÉVELOPPEMENT!
VIVE LES ARTS VAGABONDS REZO AFRIK BENIN !
VIVE LA COOPÉRATION ENTRE LE BÉNIN ET NOS PAYS D´ACCUEIL RESPECTIFS, EN AFRIQUE ET EN EUROPE:

Pour le Bureau Directeur des Arts Vagabonds Rezo Afrik Benin,
Le Président,

Christel GBAGUIDI




Coup de gueule 5

SI UN HAÏTIEN ORGANISE, EN FRANCE, LA ’’SEMAINE CULTURELLE DU BÉNIN EN EUROPE’’, C´EST UNE CONGOLAISE QUI L´ORGANISE, PAR CONTRE, EN BELGIQUE...
NOUS NE SOMMES PAS CONTRE CES ORGANISATEURS DE BONNE FOI QUI, NE CONNAISSANT PAS LE DPAC, M. PATRICK IDOHOU, AVEC QUI ILS ONT AFFAIRE, ONT ACCEPTE CE VILAIN DEAL.
NOUS NE SOMMES PAS NON PLUS CONTRE LES ARTISTES SÉLECTIONNÉS POUR PARTICIPER A CET ÉVÉNEMENT FANTAISISTE ORGANISE A COUP DE MILLIONS.
AVEC TOUT LE RESPECT QUE NOUS LEUR DEVONS, NOUS SOMMES OBLIGE DE DÉNONCER ET DE DIRE NON, NON et NON !

Voici la PUB QUI RÉVOLTE:
« En partenariat avec le Ministère de la culture du Bénin (DPAC) et dans le cadre de la ’’Semaine de la culture du Bénin’’ qui se déroulera à Paris, du 25 au 29 juillet 2016, Mandji Asbl clôturera cette semaine, à Bruxelles, en accueillant ’’WOOD SOUND’’ et la chanteuse RAMOU à la Tentation - Rue de Laeken 28, 1000 Bruxelles - le samedi 30 juillet 2016 à 20h.
Venez nombreux découvrir la culture béninoise ! Et croyez moi, ça va chauffer !... »

Cette publicité a été écrite par Nicole Bongo Letuppe, le 09 juillet 2016, à 08 h 31 mn, sur sa page Facebook, https://www.facebook.com/nicolejojotte.letuppe
ET OUI, CA VA CHAUFFER ET, CA CHAUFFE DÉJÀ AU BÉNIN ET EN EUROPE !!!!!
BÉNINOISES ET BÉNINOIS, CHERS COMPATRIOTES ET CHERS COLLÈGUES ARTISTES, LE JOUR NOUVEAU SE LÈVE ET LE COQ, AVEC SON COCORICOOOO, T´APPELLE A ACCOMPLIR TA MISSION OU DE LA TRAHIR.

RÉVEILLONS-NOUS !!!

LEVONS NOUS POUR CHANGER TOUT CE DÉSORDRE-LA.
NOUS VENONS DE METTRE LA MAIN SUR L´ORGANISATRICE PARTENAIRE DE LA SOI-DISANT ’’SEMAINE CULTURELLE DU BÉNIN EN EUROPE-Belgique’’, ORGANISÉE PAR LE DPAC.

Excellence, Monsieur Patrice Talon, Président de la République,
Monsieur le Ministre du Tourisme et de la Culture,
Monsieur le Ministre des Affaires Etrangères et de la Coopération,

NOTRE SILENCE LEUR PROFITAIT, DEPUIS LA LUNE DES TEMPS MAIS, AUJOURD’HUI, GRÂCE A VOUS, GRACE A VOTRE DÉTERMINATION A REMETTRE LE BÉNIN SUR LA VOIE DU DÉVELOPPEMENT, TANT SUR LES PLANS POLITIQUE, ECONOMIQUE, SCIENTIFIQUE, TOURISTIQUE, CULTUREL, NOUS AVONS RETROUVE LA VOIX POUR ÉCLAIRER UN TANT SOIT PEU CE QUE VOUS NE POUVEZ VOIR DE LOIN.

ACCEPTEZ NOUS ECOUTER, ACCEPTEZ DE VOUS LAISSER ÉCLAIRER PAR LA LAMPE DE NOTRE VOIX ET, VOUS NE SEREZ PAS DÉÇUS.

Le BÉNIN, notre pays, ne mérite pas ce que prépare avec ce réseau Mafieux Culturel, dirigé par le DPAC. Nous sommes sûr et certain qu´il n´est pas SEUL dans ce Deal International où les Béninois de l´Extérieur, qui, malgré tout, ont leurs différentes plateformes pour se retrouver et célébrer leur Culture, à leur manière, ne sont pas associés ni informés.
C´est avec beaucoup d´amertume que nous avons appris qu´on entend faire la Promotion du Bénin en Europe, en France et en Belgique, mais que les co-organisateurs sont Haïtiens et Congolais. C’est vrai, organiser un événement n´a besoin d’une nationalité particulière, mais, dans le cas d´espèce, nous disons :
LORSQU´IL S'AGIT DU BÉNIN, c´est d´abord AUX BÉNINOISES ET AUX BÉNINOIS D´EN PARLER, ILS SONT LES SEULS A MIEUX DÉFENDRE LEUR PAYS, LEUR HISTOIRE, LEURS CULTURES et LEURS ARTS.
Pourquoi le DPAC n´a-t-il pas contacté les Bureaux du Haut Conseil des Béninois de l´Extérieur de la France et de la Belgique? Ou, plutôt, pourquoi ne fait-il pas un appel d´offres á l´endroit des Associations de Béninois dans ces deux Pays?
Mais, où sont passés les Entrepreneurs Culturels du Bénin qui vivent dans ces Pays-là? Pourquoi la DPAC, direction du Ministère du Tourisme et de la Culture, ne s´associe pas au Ministère des Affaires Etrangères et de la Coopération pour mieux organiser un pareil événement ? Nous doutons fort que la Direction des Relations Culturelles du Ministère des Affaires Etrangères et de la Coopération soit associée.
En effet, lorsque le DPAC était passé nous voir en Allemagne, le 11 juin 2016, l´Ambassade du Bénin à Berlin n´était pas informée. C´est nous, ARTS VAGABONDS REZO AFRIK BENIN, représenté par notre Président, Christel GBAGUIDI, qui a informé et interpellé cette institution diplomatique ; elle était surprise qu´une autorité de ce rang soit en Allemagne sans qu’elle ait été informée ...

Excellence Monsieur Patrice Talon, Président de la République,
Monsieur le Ministre du Tourisme et de la Culture,
Monsieur le Ministre des Affaires Etrangères et de la Coopération,

Vous devez prendre enfin des MESURES IDOINES POUR STOPPER l´Organisation de cet ÉVÉNEMENT FANTAISISTE.
LE TERRAIN EST MAL PRÉPARE, LES SPECTATEURS ET/OU LES ACHETEURS DE SPECTACLES SONT TOUS EN VACANCES. LA RÉALITÉ EUROPÉENNE A PROUVE DÉJÀ A NOUS AUTRES qui Y VIVONS, qu´en JUILLET ET AOÛT, en EUROPE, c´est la Période DES GRANDES VACANCES ; prenez simplement l´Exemple des Instituts Français de chez nous, en Afrique, en juillet et en août : la Programmation est en Vacances. Eh bien, Messieurs, c´est la même chose en France et en Belgique.
Qu´est-ce qui peut presser un Directeur Sortant à organiser un événement de cette Taille dans la Précipitation ? Où était-il depuis qu´il avait été nommé sous l´ancien Régime ? Où était-il pendant que le Patrimoine National matériel et immatériel se détériorait au Bénin ? Qu´a-t-il fait, durant tout son Exercice, pour que le Bénin Rayonne à l´international? Nous savons qu´il maîtrise la Chine alors, Pourquoi n´organise t-íl pas la ’’Semaine Culturelle du Bénin en Chine’’ ?
Nous ne saurions accepter qu´on fasse venir des Artistes et des Groupes renommés de notre Pays, comme Alèkpéhanhoun, ’’Wood Sound’’, pire, de faire déplacer le Ballet National, ballet que nous respectons beaucoup, grâce à son travail et de son passé glorieux, à l´international, avec son vaillant Directeur, M. Marcel ZOUNON, sans pour autant bien l´Organiser. Lorsque ces Diplomates Culturels sortent, le Bénin doit en profiter et bien d´ailleurs, LE FOLKLORE N´A JAMAIS DÉVELOPPÉ UN PAYS !
Si la ’’Semaine Culturelle du Bénin en Europe’’ se tenait, ils feraient une JOURNÉE d´activité à Paris et UNE JOURNÉE d´activité à Bruxelles, puis le Groupe se détachera ....
Les WOOD SOUND joueraient déjà en PRIVE les 23 et/ou 24 (si le Voyage avait vraiment Lieu) au River GAMBIA , 19, Rue D´IENE, A LILLE puis, à Paris, entre le 25 et le 29 Juillet, avant de rallier la Tentation - Rue de Laeken 28, 1000 Bruxelles - le samedi 30 juillet 2016 à 20h.
En somme, au regard de la Programmation qui nous est parvenue, nous allons gaspiller les RESSOURCES DU CONTRIBUABLE BÉNINOIS, en 5 jours .....
Pendant ce Temps, LE DPAC GARDE LE SILENCE PAR RAPPORT AU FINANCEMENT de notre ÉVÉNEMENT : Les ’’SEMAINES CULTURELLES BÉNINOISES EN ALLEMAGNE (Se.Cu.Ba.)’’, 2ème Edition, qui durent un maximum de 12 Jours d´Activités intenses, à travers plusieurs villes. Le Rapport Technique et Financier de la 1ère édition puis les coupures de Presse sont là pour témoigner du sérieux de notre Projet.
Nous ne gueulons pas parce que nous n´avons pas l´appui du DPAC. NON !
PLUTÔT, NOUS DISONS, SIMPLEMENT, NON, NON ET NON A CETTE FAÇON DE GÉRER UNE DIRECTION SI IMPORTANTE DE LA CHAÎNE DU DÉVELOPPEMENT DU SECTEUR CULTUREL, VOIRE DE CELUI DU TOURISME. CELA PROUVE LA NON MAÎTRISE DE LA POLITIQUE CULTURELLE BÉNINOISE.
NOUS DISONS NON CAR ILS ONT ASSEZ NARGUE LES PROFESSIONNELS QUI TRAVAILLENT.

Excellence, Monsieur Patrice Talon, Président de la République,
Monsieur le Ministre du Tourisme et de la Culture,
Monsieur le Ministre des Affaires Etrangères et de la Coopération,

NOUS VOUS PRIONS DE STOPPER CE DEAL CULTUREL MAL ORGANISE ; la révolution TOURISTIQUE dont vous rêvez ne peut venir de ce genre d´événements Fantaisistes ...
NOTRE SILENCE LEUR PROFITAIT …
CORDIALEMENT
MERCI
Pour le Bureau Directeur des Arts Vagabonds Rezo Afrik Benin,
Le Président,

Christel GBAGUIDI