Pour la tenue effective de l'événement en 2014
Le Ministre Jean-Michel Abimbola, entouré des membres de son cabinet. |
La Salle Vip du Ministère de la Culture a accueilli, le jeudi 20 février 2014, une rencontre d'échanges entre le Ministre de la Culture, Jean-Michel Abimbola, son cabinet et ses directeurs centraux, d'une part, et les acteurs, promoteurs et journalistes culturels, d'autre part. Il s'agissait pour l'autorité d'échanger avec ses interlocuteurs sur la suite à donner au processus de restructuration du Festival international de théâtre du Bénin (Fitheb), après la signature par le Gouvernement, le 30 décembre 2013, du Décret n°2013-547 "portant création, attributions, organisation et fonctionnement du Festival international de théâtre du Bénin (Fitheb)". Il ressort de la réunion que, dans les prochains jours, d'importantes nominations de la part du Ministre remettront en marche la machine Fitheb.
Un Directeur intérimaire du Festival international de théâtre du Bénin (Fitheb) et un Comité provisoire de supervision du Festival, tenant lieu de Conseil d'Administration et chargé de doter cette manifestation théâtrale d'envergure internationale de ses textes fondamentaux. Voilà les instances que le Ministre Jean-Michel Abimbola se fera le devoir de nommer dans les prochains jours.
Cette décision relève de la dernière concertation des acteurs culturels, tenue hier, après celle ayant eu lieu le 6 février dernier. "La multiplication des contacts n'est pas un aveu de la difficulté à décider", a affirmé le Ministre, au cours de la rencontre qu'il a eue, entouré des membres de son cabinet, en présence de ses directeurs techniques, et face aux acteurs, promoteurs et journalistes culturels, le jeudi 20 février 2014, dans la Salle Vip du Ministère, expliquant, par ces mots, que la décision de cette double nomination est l'aboutissement d'un ballet de séances de concertation avec les personnalités et les représentants des structures privées concernées par le déroulement du Fitheb.
Pour en arriver à ce niveau, il a fallu que Jean-Michel Abimbola écoute toutes les parties possibles et réussisse, enfin, ce jeudi 20 février, à faire le consensus autour de l'organisation obligatoire du Fitheb en 2014, prenant de sérieuses options pour honorer ce qu'il faut considérer comme la quatrième promesse que le Gouvernement s'était fait, étant entendu que les trois premières étaient de ne pas dissoudre le Conseil d'administration sortant avant la fin de son mandat, de ne pas faire valoir un candidat et de ne pas mettre en place une administration provisoire du Fitheb.
Ainsi, le Directeur intérimaire, selon les propos du Ministre, aura pour seule mission d'organiser un Fitheb 2014 qui, apparemment, en sera un de transition, ce après quoi il quittera son poste pour laisser s'installer son successeur. Celui-ci ne pourra alors être connu qu'après le laborieux travail du Comité provisoire de supervision du Festival, qui sera constitué de certaines étapes clés : doter le Fitheb de ses Statuts et de son Règlement intérieur, lancer les candidatures au poste de Directeur, recevoir les dossiers, retenir ceux conformes, noter ceux-ci, retenir les trois meilleurs candidats qui feront l'objet d'une proposition au Ministre de la Culture qui, en fin de compte, optera pour un seul nom qu'il transmettra au Conseil des Ministres. Et, le Directeur sera nommé officiellement par le Gouvernement.
Concernant le Conseil d'Administration du Fitheb, Jean-Michel Hervé Babalola Abimbola a laissé entendre que, dans certains ministères, les représentants sont déjà connus et qu'il ne reste que les acteurs et les journalistes culturels à élire les leurs. Avec de telles avancées, les zones d'incertitude s'estompent progressivement et permettent d'espérer que la restructuration de ce Festival sera une réussite.
Marcel Kpogodo
Cette décision relève de la dernière concertation des acteurs culturels, tenue hier, après celle ayant eu lieu le 6 février dernier. "La multiplication des contacts n'est pas un aveu de la difficulté à décider", a affirmé le Ministre, au cours de la rencontre qu'il a eue, entouré des membres de son cabinet, en présence de ses directeurs techniques, et face aux acteurs, promoteurs et journalistes culturels, le jeudi 20 février 2014, dans la Salle Vip du Ministère, expliquant, par ces mots, que la décision de cette double nomination est l'aboutissement d'un ballet de séances de concertation avec les personnalités et les représentants des structures privées concernées par le déroulement du Fitheb.
Pour en arriver à ce niveau, il a fallu que Jean-Michel Abimbola écoute toutes les parties possibles et réussisse, enfin, ce jeudi 20 février, à faire le consensus autour de l'organisation obligatoire du Fitheb en 2014, prenant de sérieuses options pour honorer ce qu'il faut considérer comme la quatrième promesse que le Gouvernement s'était fait, étant entendu que les trois premières étaient de ne pas dissoudre le Conseil d'administration sortant avant la fin de son mandat, de ne pas faire valoir un candidat et de ne pas mettre en place une administration provisoire du Fitheb.
Ainsi, le Directeur intérimaire, selon les propos du Ministre, aura pour seule mission d'organiser un Fitheb 2014 qui, apparemment, en sera un de transition, ce après quoi il quittera son poste pour laisser s'installer son successeur. Celui-ci ne pourra alors être connu qu'après le laborieux travail du Comité provisoire de supervision du Festival, qui sera constitué de certaines étapes clés : doter le Fitheb de ses Statuts et de son Règlement intérieur, lancer les candidatures au poste de Directeur, recevoir les dossiers, retenir ceux conformes, noter ceux-ci, retenir les trois meilleurs candidats qui feront l'objet d'une proposition au Ministre de la Culture qui, en fin de compte, optera pour un seul nom qu'il transmettra au Conseil des Ministres. Et, le Directeur sera nommé officiellement par le Gouvernement.
Concernant le Conseil d'Administration du Fitheb, Jean-Michel Hervé Babalola Abimbola a laissé entendre que, dans certains ministères, les représentants sont déjà connus et qu'il ne reste que les acteurs et les journalistes culturels à élire les leurs. Avec de telles avancées, les zones d'incertitude s'estompent progressivement et permettent d'espérer que la restructuration de ce Festival sera une réussite.
Marcel Kpogodo