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vendredi 6 décembre 2019

Les Béninois vivant au Niger influents dans les Btp

Dans le cadre de la diffusion du 89e numéro de "Diasporas" sur YouTube

Le domaine des Bâtiments et Travaux publics (Btp) au Niger enregistre l'activité remarquable des ressortissants béninois, ce que révèle le 89e numéro de "Diasporas", l'émission culturelle dédiée à la vie quotidienne et socioculturelle des Béninois de la diaspora, diffusé sur la télévision nationale béninoise de service public, le dimanche 1er décembre 2019 et mise en ligne depuis sur YouTube. 

Yolande Veyvey, au cours de l'émission, interrogeant l'un de ses invités, un Président d'association ...

Depuis le dimanche 1er décembre 2019 est disponible sur la chaîne YouTube, dénommée "Yolande Veyvey", de l'émission "Diasporas", l'intégralité de ce programme télévisuel mensuel de 26 minutes de l'Office de Radiodiffusion et télévision du Bénin (Ortb). En tapant le lien, https ://youtu.be/15Kp-yUZI9M, l'internaute qui n'aurait pas suivi le n°89 de l'émission et qui n'a pas la patience d'attendre la rediffusion sur le même canal le 15 décembre prochain pourra en prendre connaissance du contenu.



Ceci est relatif aux Béninois vivant au Niger intervenant dans les différents maillons de la chaîne des Bâtiments et Travaux publics (BTP) puis informe suffisamment sur les conditions de travail des acteurs concernés, ceux-ci ayant été interviewés par Yolande Veyvey, l'animatrice de l'émission. A vos claviers, donc !

Marcel Kpogodo

samedi 19 octobre 2019

Culture : le Marché "Kérékou" au Niger sur l'émission télévisuelle "Diasporas"

Dans le cadre de la diffusion du 88e numéro sur l'Ortb

La 88e édition de l'émission culturelle de télévision, dénommée "Diasporas", initiée depuis onze ans par la journaliste béninoise, Yolande Veyvey, sera centrée sur le Niger avec un de ses lieux d'échanges, atypique, animé par des Béninoises vivant dans le pays, le marché "Kérékou".

26 minutes pour aborder, entre autres, le marché "Kérékou", du nom de l'ancien Président emblématique du Bénin, qui se situe au Niger. Le menu du 88e numéro de l'émission "Diasporas", qui sera diffusée à nouveau sur la télévision nationale de service public du Bénin, le dimanche 20 octobre 2019, de 10h à 10h30.


A en croire son animatrice, Yolande Veyvey, si ce numéro concerné de l'émission très connue vaut le détour et la mobilisation dans les foyers béninois, c'est qu'il évoque une réalité extraordinaire que les Béninoises contribuent à entretenir à Niamey, la capitale nigérienne : le marché qu'elles animent portent un nom d'une grande notoriété au Bénin, en Afrique et dans le monde pour être celui d'une personnalité qui a contribué à ouvrir le bal des conférences nationales en Afrique, en même temps que celui du renouveau démocratique, ce qui fera, dans quelques mois, 30 ans.


Ensuite, dans un pays islamique comme le Niger, ce sont les hommes qui animent les marchés. Qu'est-ce qui aurait pu amener ces Béninoises à tenir un marché et, avant tout, à lui donner le nom "Kérékou" ? Depuis quand l'ont-elles fait et qu'y vendent-elles de si particulier, pour quelle cible ? Comment se sentent-elles dans un environnement où les marchés sont animés par les hommes ? Par ailleurs, d'où proviennent les marchandises qui y sont vendues et, quelles sont-elles ?


Pour trouver réponse à toutes ces questions, de même qu'à celles liées à un autre marché, pris en exemple par Yolande Veyvey et qui est animé par des hommes nigériens, il faudrait prendre le rendez-vous de l'émission "Diasporas", dans la rediffusion de son 88e numéro, le dimanche 20 octobre 2019, sur la télévision de service public de l'Office de Radiodiffusion et télévision du Bénin (ORTB), de 10h à 10h30. Ce rendez-vous télévisuel serait l'occasion de toucher du doigt la capacité d'innovation dans son milieu de vie à l'étranger et d'enrichissement social, reconnue aux Béninois de la diaspora.

Marcel Kpogodo

lundi 30 mars 2015

Le Ministre Jean-Michel Abimbola relève le défi du 1er Carnaval de Cotonou

Au cours d’une manifestation riche en couleurs et en danses


Le Carnaval international de Cotonou a eu lieu le samedi 28 mars dernier. C’était au cours d’un grand déambulement de nombreuses troupes de danses, qui ayant abouti à l’esplanade du Stade de l’Amitié de Kouhounou, à l’initiative du Ministre de la Culture, Jean-Michel Abimbola.

Une tranche de danse des revenants
Pas moins de 28 groupes, d’une part, manifestant des prouesses spécifiques de danse, ont paradé, pendant 1 minute, devant le Ministre de la Culture, Jean-Michel Abimbola, et son collègue du Développement, Marcel de Souza, devant les cadres respectifs des deux départements ministériels et face à une population nombreuse ayant fait le déplacement. D’autre part, trois autres troupes émanant, respectivement, du Burkina Faso, du Niger et du Bénin, se sont livrés à un exercice d’une longueur plus conséquente de 10 minutes. C’était sur l’esplanade extérieure du Stade de l’Amitié de Kouhounou, dans le cadre du Carnaval international de Cotonou, le samedi 28 mars 2015, en milieu d’après-midi. Ce lieu de rassemblement s’est révélé l’aboutissement d’une procession épaisse et colorée, ayant eu à sa tête, Jean-Michel Abimbola et les directeurs à divers niveaux du Ministère de la Culture, une procession qui a pris le départ à la place de l’Etoile rouge de Cotonou.
Près d’une heure après avoir quitté le point de départ, Marcel de Souza rejoignait les carnavaliers. C’est ainsi que les démonstrations diverses et variées des structures culturelles et cultuelles invitées ont fasciné le public, même si la durée semblait trop courte, pour la première vague des passages. Parmi les groupes étant intervenus à cette première phase, il fallait compter ceux bien connus comme les ’’Super anges’’, les ’’As du Bénin’’, ’’Towara’’, ’’Oshala’’, ’’Achakata’’, les ’’Bourian’’, deux groupes de joueurs de fanfare et deux autres émanant du Centre culturel chinois, le premier incarnant des lions et, le second, le dragon.
La deuxième partie du spectacle a permis à la ’’Société des masques Gossina’’ du Burkina Faso, à ’’Mawazaki Zango’’ du Niger et à un groupe de tamtameurs et de danseurs béninois de proposer une animation vigoureuse et variée, qui a enchanté le public et suscité beaucoup d’applaudissements. D’abord, le groupe burkinabè a exécuté la danse d’une succession de masques représentant divers animaux dont le crocodile. Quant aux Togolais, ils ont plu par les numéros éprouvants des échassiers qui, à la fin du spectacle, ont pu savamment se débarrasser de leur échasse, sans compter les chanteuses et danseuses à la fois qui voyaient rythmer leurs chants et leurs suggestifs déhanchements par des coups de tam-tam. Enfin, les Béninois, de leur côté, ont impressionné par leur adresse dans l’exploitation de tambours plus hauts qu’eux qui, tantôt se prenaient au dos pour y accéder de leur bâton, tantôt s’associaient pour les frapper par le côté. Le tout était harmonieusement associé aux chants de leurs voix mâles et à leurs danses remuantes bien synchronisées. Même si la délégation ivoirienne qui était annoncée pour participer à la manifestation n’a pu qu’être déclarée en train de pénétrer sur le territoire national, au moment de la clôture de la manifestation, le public a donné l’impression d’avoir été profondément comblé par le spectacle.
Entre temps, les interventions respectives de Jean-Michel Abimbola et de Marcel de Souza ont remercié le Chef de l’Etat, le Docteur Boni Yayi, sous le patronage de qui la manifestation culturelle a eu lieu ; ils n’ont pas oublié toutes les troupes ayant réellement participé à animer l’événement. Par ailleurs, il ressort que le Carnaval de Cotonou, un événement annuel, devra se dérouler régulièrement et acquérir une réputation semblable à celle du Carnaval de Rio.

Marcel Kpogodo

mardi 11 décembre 2012

Relais de l'information culturelle ouest-africaine

Cultures en ligne pour combler un déficit dangereux  


Le Complexe culturel artistique et polyvalent (Ccap13) de Cotonou, sis quartier Akpapa, était très animé, le samedi 8 décembre 2012, en début de soirée. A l'actif de Koffi Attédé, Directeur des ''Editions Plurielles'', s'est déroulé le lancement officiel du Projet ''Cultures en ligne'', destiné à diffuser l'information culturelle ouest-africaine. Plusieurs personnalités du monde de la culture et des journalistes spécialisés dans le traitement de l'information dans ce domaine, étaient présents à la cérémonie qui a permis d'assister à des manifestations artistiques.

Un aperçu de page de www.benincultures.com
Le concept Cultures en lignes, financé par l'Organisation internationale de la francophonie et, porté sur les fonts baptismaux, le samedi 8 décembre 2012, au Complexe culturel artistique et polyvalent (Ccap13) d'Akpakpa, symbolise une vision de mise en ligne progressive des manifestations culturelles en provenance de huit pays francophones de l'Afrique de l'Ouest. Il se comprend donc comme une "plateforme virtuelle francophone ouest-africaine de diffusion de l'information culturelle". Mais, pour un début, le Togo, le Niger et le Bénin sont ceux qui auront l'opportunité de voir partager sur Internet les réalités culturelles profondes qui émanent d'eux. Ainsi, trois sites web représentent respectivement ceux-ci : www.arts-togo.com, www.fofomag.com et www.benincultures.com. A partir d'eux, l'internaute pourra découvrir les activités intrinsèques de la culture africaine, en réalité, mal relayée et victime de préjugés visant à limiter la portée et la force de sa richesse.

Koffi Attédé, lors de la cérémonie de lancement ...

Ceci reste le constat de Koffi Attédé, Directeur des Editions plurielles, structure portant le Projet. A en croire cette personnalité, il a démarré depuis mai 2011 et est prévu pour s'achever courant mars 2013. Dans son sillage, vu qu'il n'exploitera que le numérique, il a permis plusieurs acquis, entre autres, la formation d'à peu près 90 jeunes, acteurs et journalistes culturels, de 18 à 35 ans, sur les contours d'Internet, les méthodes journalistiques et sur la pratique de la critique d'art, la conception, la réalisation et la distribution à ceux-ci d'un DVD Rom multimédia interactif d'initiation aux logiciels libres et à Internet, l'édition et la distribution, toujours à ces jeunes, d'un ouvrage didactique d'initiation à plusieurs logiciels libres, le processus de la mise en réseau des trois sites Internet partenaires, la dotation des associations partenaires du Projet d'équipements informatiques et numériques. Par ailleurs, de manière précise, les objectifs que s'imposent d'atteindre le promoteur Attédé et son équipe restent l'achèvement du processus de mise en réseau des sites Internet partenaires, la réalisation d'actions de leur visibilité et le renforcement de leur animation. 

Pour des retombées insoupçonnées

Concernant une cérémonie de lancement de Cultures en ligne, riche en prestations artistiques et pour laquelle, notamment, Honoré Mègbémado et Nicolas Ago, représentant respectivement l'Organisation internationale de la Francophonie et le Ministère de la Culture, ont pris la parole, il s'est posé la préoccupation de la pérennisation de cette initiative salutaire, au-delà de la période de déroulement du Projet. Il faudrait donc réussir le pari de la durée dans le temps du processus mis en route, surtout que, sans en donner l'air, il emploie un nombre non négligeable de jeunes.

Marcel Kpogodo